1. Pour la plupart, Meursault réagit à son internement en prison avec indifférence caractéristique. Plus important encore, son emprisonnement ne pas inciter à toute culpabilité ou de regret sur ce qu'il a fait. Comme à l'enterrement de sa mère, Meursault se concentre sur les détails pratiques de sa vie en prison plutôt que sur ses éléments émotionnels. Par exemple, il pense que le fait que le tribunal désigne un avocat pour lui est "très pratique." Il aime aussi l'attitude amicale du juge d'instruction dans leurs réunions ultérieures, et ne pas le traiter comme un adversaire. Sans surprise, les aspects physiques de l'accouchement pèsent le plus lourdement sur l'esprit de Meursault. Ses désirs insatisfaits de la nature, l'océan, les cigarettes, et le sexe constituent, dans son esprit, sa punition. Il note que, bien qu'il pense des femmes, il ne pense pas à Marie en particulier. Cette déclaration souligne la physique, le caractère nonemotional de leur relation. À la fin de la deuxième partie, chapitre 2, Meursault, à regarder son reflet dans la fenêtre, prend note de la gravité de son visage et tout à coup se rend compte qu'il a parlé à lui-même. "Il m'a semblé que mon image restait sérieuse alors même que j'essayais de lui sourire. Je l'ai agitée devant moi." (Camus 126) Actions de Meursault signaler sa nouvelle conscience de soi et la conscience de soi. En prison, il est de plus en plus de comprendre lui-même et ses convictions de plus en plus. Il décide qu'il ne pouvait s'habituer à toute situation de vie, même vivant dans un tronc d'arbre, par exemple. Plus important encore, Meursault commence à mieux comprendre l'univers irrationnel autour de lui.
2. Dans son esprit, l'écho des paroles de l'infirmière qui lui parle dans la première partie, chapitre 1, au cours de la procession funéraire. Elle a dit à Meursault qu'il recevrait insolation s'il marchait trop lentement, mais faire de l'exercice et de prendre froid dans l'église s'il marchait trop vite. À l'époque, Meursault est convenu que "il n'y avait pas moyen de sortir, mais maintenant il comprend pour la première fois toutes les implications de ces mots: il n'y a pas moyen de sortir de prison, et il n'y a pas moyen de sortir d'une vie qui, inévitablement, et extrémités purposelessly dans la mort. Lorsque Marie vient rendre visite à Meursault, son espoir que le procès de Meursault prendra fin heureux contraste fortement avec l'affirmation croissante de Meursault d'un univers irrationnel. Meursault désirs pour aller à la piscine, à la fumée de cigarettes, et à avoir des relations sexuelles le tourmenter en prison. Il s'habitue à sa captivité, cependant, si elle cesse d'être un terrible châtiment. Seul le début de soirée semble le troubler. Il dort autant d'heures que possible, et tue le temps en rappelant les moindres détails de son appartement et de penser à une histoire sur un vieux bout de journal, il a trouvé dans sa cellule. "Les mots hier et demain étaient les seuls qui gardaient un sens pour moi." (Camus 125)Alors qu'il était dans la chaleur du moment, Meursault ne se sentait pas coupable, comme il se sent rarement l'émotion. Toutefois, en prison, et après la réalisation de ses conséquences était-il vraiment des remords pour ses actions.
1. Dans la prison, les criminelles révisent ses faux et ils se jugent. Pour Meursault, la prison est une place où il peut penser toujours. Il n’a pas la rectitude morale, et il se détache psychologiquement du monde. Alors, Meursault n’a pas les problèmes avec son caractère, spécifiquement après l’assassiner. Je ne pense pas qu’il prend conscience de soi dans la prison. Par exemple, le magistrat agit un crucifix à Meursault parce qu’il a dit qu’il n’amourait jamais quelqu’un et il ne croit pas en Dieu. Puis, le juge a dit que Meursault a une âme irrévocablement durcie. Il est un athée qui ne trouve pas la signifiance des vies et la nature.
2. Non, je ne pense pas que Meursault sent aucun remord pour ce qu'il a fait. Premièrement, il n’a pas de motivations. Il est un homme simple et il ne fait pas une distinction entre le bien et le mal. Il prend une décision parce qu’il n’y a pas une raison contre ça. Puis, il est un détachement de société sans les sentiments. Dans la prison, Meursault n’a pas les sentiments aucun remord pour ce qu’il a fait. Particulièrement, il dort autant d’heures possibles, il passe le temps en rappelant les moindres détails de son appartement. Puis, il pense à une histoire sur un vieux bout de journal, il a trouvé dans sa cellule.
1. Meursault prenne l’opportunité d’être en prison à penser à sa vie, à Maire, à sa mère et à touts les choses qu’il veut. Il n’a pas la loyauté et il se détache psychologiquement du monde. Ses pensées lui prend et lui porte au une mode différent. Dans une façon, Meursault a trouvé son conscience en prison parce qu’il est forcée a pense toujours. Par exemple, quand le juge a dit que Meursault a une âme irrévocablement durcie. Il est un irréligieux et il ne croit en rien. Il est toujours malheureux et il ne sait pas apprécier des choses qu’il a devant il. Quand Meursault, à regarder son reflet dans la fenêtre, ses actions signalé sa nouvelle connaissance de soi-même.
2. Non, je ne pense pas que Meursault sent aucun remord pour ce qu'il a fait. Il ne se comprend rien qu’il fait ou pourquoi. Ses décisions sont très irrationnelle et sans pensé. Il est tres détachée, et pour avoir des remords on doit être sain d’esprit. Pour après la morte de l’Arabe, Meursault n’a pas remords pour le tue. C’est vraiment étrange, il a tue un autre et il n’a pas des sentiments.
1. Oui, je croit que Meursault prend concsience de soi en prison, mais pas encore. Sa rédemption passe dans les chapitres finale du roman, quand il accepte sa mort. A ce point du roman, Meursault est encore un homme indifférent et passif. Un exemple qui nous montre ce qu’il ne se sent pas de remords pour son crime. Il se soucie plus d’absence des cigarettes et des femmes. De plus, Camus nous done une déscription physicale pour montrer que Meursault n’a pas encore changer.Il m'a semblé que mon image restait sérieuse alors même que j'essayais de lui sourire. Je l'ai agitée devant moi." (Camus 126)
2. Non, je ne pense pas que Meursault sens aucune remords pour la meurtre de l’Arabe. Il a presque l’oublier. Même si il a beaucoup de temps en prison pour réfléchir ses actions qui l’y ont mené, il pense plutôt aux chose qu’il manque de ca vie libre. En raison de son manque d'émotion et de détachement de la société, je crois que Meursault est incapable de remords. Cela est évident parce qu’il s’inquiéte plus de ses besoins et son environement au lieu de penser au ce qui a se passé.
1) Meursault est dans sont propre monde d’indifférence, il trouve son affaire très simple malgré les dangers est la situation difficile où il se retrouve. A la page 99 Meursault a dit « J’ai répondu que je trouvais mon affaire très simple. » (Camus 99). Même en prison il pense qu’il n’a pas besoin d’avocat parce que son affaire n’est pas compliquée c’est juste un meurtre. Le juge a essayé avec tout les moyens de lui faire regretter son acte et demander pardon à Dieux mais il n’a pas les mêmes croyances que le juge et il pense que la mort est un destin peu importe la façon dont on va mourir. Le destin de sa mère c’est de mourir à l’asile de vieux et le destin de l’Arabe c’est d’être tuer par Meursault. A mon avis, au début, Meursault ne prenait pas conscience de soi en prison. Le temps qu’il a passé là-bas, malgré la petite cellule et le non confort où il vivait, il pensait toujours aux femmes, à ces cigarettes et à des choses artificielles plus qu’il a pensé au crime qu’il a fait et aux conséquences qu’il peut avoir. Meursault à un caractère très spécial et particulier il laisse tout au hasard et il prend les choses à la légère. Plus tard, Meursault a réalisé que la prison est une privation de toutes les choses et la moindre des choses qu’il aimait. Apres l’avoir déplacé d’une cellule avec d’autre Arabe et le mettre seul dans une autre cellule, ce mouvement la fait beaucoup réfléchir et lui a ouvert les yeux qu’il est vraiment en prison et il doit payer les conséquences. Meursault a dit, « En réalité, je n’étais pas réellement en prison les premiers jours : j’attendais vaguement quelque événement nouveau. C’est seulement après la première et la seule visite de Marie que tout a commencé. Du jour ou j’ai reçu sa lettre (elle me disait qu’on ne lui permettait plus de venir parce qu’elle n’était pas ma femme), de ce jour là, j’ai senti que j’étais chez moi dans ma cellule et que ma vie s’y arrêtait» (Camus 113). Depuis cette partie, Meursault a reconnu qu’il a commis un crime sérieux.
2) Meursault à tuer l’Arabe sans même savoir pourquoi et avoir beaucoup de détails sur son histoire avec Raymond. Il a tué ce Monsieur dans un instant inexplicable et d’une manière sauvage qui nous donne l’impression que Meursault a une grande haine et une vengeance contre l’Arabe. En réalité il n’y a rien de tout cela. Le juge a demandé à Meursault « Pourquoi avez-vous tirez sur un corps à terre? » « La encore je n’ai pas su répondre » (Camus 106). C’est encore le caractère indifférent et bizarre qui domine Meursault qui monte en surface. Les sentiments de Meursaults envers cette mort sont mélangés des fois de remords et parfois de sentiments d’innocence. Ils se sont innocent parce qu’il se dit, si cette homme est mort c’est tout simplement à cause de son destin pas plus. Qu’il soit mort avec un pistolet ou une mort naturelle comme celle de sa mère à l’asile, sa reste finalement la mort et la fin. Il n’a pas beaucoup de remord vis-à-vis du crime qu’il a commis mais il reconnaît bien qu’il est un criminel et un coupable. Selon moi, il regrette d’avoir tué l’Arabe mais pas parce qu’il a pris une vie mais parce que maintenant il est en prison est ne peut plus profiter de la vie hors de sa cellule.
1. A mon avis, Meursault ne prend pas conscience de soi en prison. Dans le chapitre 2 partie 2, Meursault a dit : « J’ai souvent pensé alors que si l’on m’avait fait vivre dans un tronc d’arbre sec, sans autre occupation que de regarder la fleur du ciel au-dessus de ma tête, je m’y serais peu a peu habitue » (120). Il me semble que Meursault simplement s’adapte à la vie en prison.
2. Je pense que Meursault ne sent aucun remord pour ce qu’il a fait. Dans le chapitre 1 partie 2 : Quand l’interrogatoire lui a dit que les criminels ont toujours pleuré devant le crucifix ou « l’image de la douleur », Meursault pensait que ce fût justement parce qu’il s’agissait de criminels, mais il a pensé qu’il aussi était comme eux. Cependant, il a dit que « c’était une idée à quoi je ne pouvais pas me faire » (109). Ceci prouve que Meursault ne sent aucun remord pour tuer l’Arabe.
1. A mon avis, Meursault ne prend pas conscience de soi en prison. Toutefois, je pense que quand il est en prison, il révèle ses qualités humaines cachées. Comme il s'assied dans sa cellule, il s'ennuie et a ennuyé que sa « liberté » qui a été révoqué. Camus décrit les expériences de Meursault en prison d'être longues et inconfortables. Il décrit le malaise de Meursault et l'indifférence. Meursault s'assied dans sa cellule et pense à rien mais les blattes qui rampent autour de son lit la nuit. L'un supposerait que les prisonniers ont peu pour faire mais évalue leurs actions. Meursault jamais introspects. Il s'assied dans sa cellule et ses prodiges du monde d'extérieur, sans le désir pour n'importe quoi plus qu'une cigarette. Quand il voit Marie, il ne comprend pas la valeur d'amour et d'acceptation. Simplement, Meursault considère ceci comme une occasion de rencontrer des gens. Malgré que Meursault ne prend pas conscience de s'en prison, je pense que Camus utilise ces chapitres pour révéler l'humanité de Meursault. Pendant le roman, Meursault réagit indifféremment à la mort de sa mère, le poignarder de Raymond, et le meurtre de l'Arabe. Toutefois, dans prison Meursault exprime le malaise et ce malaise est un symbole qu'il est plus que juste la pierre.
2. Je pense que Meursault a aucun de remords pour ce qu'il a fait. Je pense que s'il a eu le remords pour ce qu'il avait fait, il tournerait à la foi et à la religion pour l'épargner. Il demanderait le pardon et prie à un dieu qu'il est racheté. Toutefois, quand il est dans le tribunal, il dit le juge qu'il ne croit pas en dieu. Meursault ne pense pas au pardon ; il y a rien de pardonner. Ce qu'est arrivé, c'est arrivé. Il est fini. Le juge exprime aussi sa surprise à l'indifférence de Meursault. A la page 109 il dit, « Je n'ai jamais vu d'âme aussi endurcie que la vôtre ». Meursault ne révèle pas de signe d'angst ou de douleur parce qu'il a tué un homme. Même dans la prison, les pensées de Meursault sont diverties par la mémoire. Meursault dépense ses jours et les nuits apprennent par le coeur petits aspects de la pièce au lieu d'in Vu le soi-rachat. Au début du chapitre deux, il dit « Je n'aimerais pas parler de cette partie de ma vie ». Toutefois, il n'aime pas parler de cette partie de sa vie parce que c'était inutile et une perte de temps. Pendant qu'il est dans la prison, il parle au gardien et se plaint de la perte de ses affaires. L'indifférence de Meursault pour chagriner, la tragédie et la vie révèlent son manque de remords. Dans ses heures les plus sombres de « souffrir » en prison, il désire simplement pour la liberté physique. Il n'exprime jamais un désir pour la liberté mentale pour ce qu'il a fait. A mon avis, une personne qui s'est sentie coupable désirerait le pardon.
1. À mon avis, il y a très peu de changements pour Meursault quand il est en prison. Il a toujours la même personnalité indifférente. Bien que la plupart des criminels seraient prendre leur temps en prison pour réfléchir sur leurs crimes, leurs choix de vie et comment d'agir quand ils sont ramenés dans la société, Meursault choisit de regarder son séjour en prison avec une façon très factuelle, pratique et sans émotion. À la page 122, Meursault dit, « A part ces ennuis, je n'étais pas trop malheureux. Toute la question, encore une fois, était de tuer le temps »(Camus 122). Cette ligne résume bien l'attitude de Meursault envers la façon dont il devrait agir en prison. Tout au long de sa peine, il décide de trouver des astuces pour passer le temps comme des tests avec sa mémoire plutôt que de se concentrer sur les effets émotionnels de la meurtre. En outre, Meursault n'est pas gêné par avoir assassiné un homme; en réalité, ce fait franchit rarement son esprit au point où il oublie souvent qu'il est arrivé à tous. Au lieu de cela, les plus grandes inquiétudes de Meursault sont des choses simples, qui peuvent être vues quand il affirme, en ce qui concerne ses cigarettes, « Mais on m'a dit que c'était défendu…C'est peut-être cela qui m'a le plus abattu » (Camus 122). Le fait que l'un des problèmes les plus difficiles de Meursault est la perte de cigarettes montre comment la meurtre n'a pas affecté son esprit.
2. Non, Meursault n'a absolument aucun remords pour ce qu'il a fait. La meurtre est tellement sans conséquence pour lui qu'il en oublie souvent qu'elle s'est produite. Cela est évident quand il déclare, « En sortant, j'allais même lui tendre la main, mais je suis souvenu à temps que j'avais tué un homme » (Camus 100). Bien que la plupart des gens avec une conscience seraient extrêmement coupable de tuer quelqu'un, Meursault démontre une nature impitoyable quand il déclare, « J'ai dit que j'avais tué un Arabe et ils sont restés silencieux » (Camus 114). Le fait que Meursault est capable de parler aux Arabes de tuer un de leurs propres prouve qu'il n'a pas de remords. En outre, quand il est interrogé par le juge sur la meurtre, ses questions n'ont aucune sorte d'émotion. Il répond à chaque question avec une manière très factuelle qui expose son indifférence et son désir de terminer l'interrogatoire. Enfin, lorsque le juge essaie d'aider Meursault à réaliser son crime et de se repentir, Meursault agit de l'ennui pour faire l'homme cesser parler. Les paroles du juge de se repentir et le péché n'auront aucun effet sur Meursault, et cela est évident quand il déclare, « Comme toujours, quand j'ai envie de me débarrasser de quelqu'un que j'écoute à peine, j'ai eu l'air d'approuver » (Camus 108). Meursault n'est pas affectée par la meurtre et il est tout simplement irrité par la répétition.
1. Pour la plupart, Meursault réagit à son internement en prison avec indifférence caractéristique. Plus important encore, son emprisonnement ne pas inciter à toute culpabilité ou de regret sur ce qu'il a fait. Comme à l'enterrement de sa mère, Meursault se concentre sur les détails pratiques de sa vie en prison plutôt que sur ses éléments émotionnels. Par exemple, il pense que le fait que le tribunal désigne un avocat pour lui est "très pratique." Il aime aussi l'attitude amicale du juge d'instruction dans leurs réunions ultérieures, et ne pas le traiter comme un adversaire. Sans surprise, les aspects physiques de l'accouchement pèsent le plus lourdement sur l'esprit de Meursault. Ses désirs insatisfaits de la nature, l'océan, les cigarettes, et le sexe constituent, dans son esprit, sa punition. Il note que, bien qu'il pense des femmes, il ne pense pas à Marie en particulier. Cette déclaration souligne la physique, le caractère nonemotional de leur relation. À la fin de la deuxième partie, chapitre 2, Meursault, à regarder son reflet dans la fenêtre, prend note de la gravité de son visage et tout à coup se rend compte qu'il a parlé à lui-même. "Il m'a semblé que mon image restait sérieuse alors même que j'essayais de lui sourire. Je l'ai agitée devant moi." (Camus 126) Actions de Meursault signaler sa nouvelle conscience de soi et la conscience de soi. En prison, il est de plus en plus de comprendre lui-même et ses convictions de plus en plus. Il décide qu'il ne pouvait s'habituer à toute situation de vie, même vivant dans un tronc d'arbre, par exemple. Plus important encore, Meursault commence à mieux comprendre l'univers irrationnel autour de lui.
RépondreEffacer2. Dans son esprit, l'écho des paroles de l'infirmière qui lui parle dans la première partie, chapitre 1, au cours de la procession funéraire. Elle a dit à Meursault qu'il recevrait insolation s'il marchait trop lentement, mais faire de l'exercice et de prendre froid dans l'église s'il marchait trop vite. À l'époque, Meursault est convenu que "il n'y avait pas moyen de sortir, mais maintenant il comprend pour la première fois toutes les implications de ces mots: il n'y a pas moyen de sortir de prison, et il n'y a pas moyen de sortir d'une vie qui, inévitablement, et extrémités purposelessly dans la mort. Lorsque Marie vient rendre visite à Meursault, son espoir que le procès de Meursault prendra fin heureux contraste fortement avec l'affirmation croissante de Meursault d'un univers irrationnel. Meursault désirs pour aller à la piscine, à la fumée de cigarettes, et à avoir des relations sexuelles le tourmenter en prison. Il s'habitue à sa captivité, cependant, si elle cesse d'être un terrible châtiment. Seul le début de soirée semble le troubler. Il dort autant d'heures que possible, et tue le temps en rappelant les moindres détails de son appartement et de penser à une histoire sur un vieux bout de journal, il a trouvé dans sa cellule. "Les mots hier et demain étaient les seuls qui gardaient un sens pour moi." (Camus 125)Alors qu'il était dans la chaleur du moment, Meursault ne se sentait pas coupable, comme il se sent rarement l'émotion. Toutefois, en prison, et après la réalisation de ses conséquences était-il vraiment des remords pour ses actions.
1. Dans la prison, les criminelles révisent ses faux et ils se jugent. Pour Meursault, la prison est une place où il peut penser toujours. Il n’a pas la rectitude morale, et il se détache psychologiquement du monde. Alors, Meursault n’a pas les problèmes avec son caractère, spécifiquement après l’assassiner. Je ne pense pas qu’il prend conscience de soi dans la prison. Par exemple, le magistrat agit un crucifix à Meursault parce qu’il a dit qu’il n’amourait jamais quelqu’un et il ne croit pas en Dieu. Puis, le juge a dit que Meursault a une âme irrévocablement durcie. Il est un athée qui ne trouve pas la signifiance des vies et la nature.
RépondreEffacer2. Non, je ne pense pas que Meursault sent aucun remord pour ce qu'il a fait. Premièrement, il n’a pas de motivations. Il est un homme simple et il ne fait pas une distinction entre le bien et le mal. Il prend une décision parce qu’il n’y a pas une raison contre ça. Puis, il est un détachement de société sans les sentiments. Dans la prison, Meursault n’a pas les sentiments aucun remord pour ce qu’il a fait. Particulièrement, il dort autant d’heures possibles, il passe le temps en rappelant les moindres détails de son appartement. Puis, il pense à une histoire sur un vieux bout de journal, il a trouvé dans sa cellule.
1. Meursault prenne l’opportunité d’être en prison à penser à sa vie, à Maire, à sa mère et à touts les choses qu’il veut. Il n’a pas la loyauté et il se détache psychologiquement du monde. Ses pensées lui prend et lui porte au une mode différent. Dans une façon, Meursault a trouvé son conscience en prison parce qu’il est forcée a pense toujours. Par exemple, quand le juge a dit que Meursault a une âme irrévocablement durcie. Il est un irréligieux et il ne croit en rien. Il est toujours malheureux et il ne sait pas apprécier des choses qu’il a devant il. Quand Meursault, à regarder son reflet dans la fenêtre, ses actions signalé sa nouvelle connaissance de soi-même.
RépondreEffacer2. Non, je ne pense pas que Meursault sent aucun remord pour ce qu'il a fait. Il ne se comprend rien qu’il fait ou pourquoi. Ses décisions sont très irrationnelle et sans pensé. Il est tres détachée, et pour avoir des remords on doit être sain d’esprit. Pour après la morte de l’Arabe, Meursault n’a pas remords pour le tue. C’est vraiment étrange, il a tue un autre et il n’a pas des sentiments.
1. Oui, je croit que Meursault prend concsience de soi en prison, mais pas encore. Sa rédemption passe dans les chapitres finale du roman, quand il accepte sa mort. A ce point du roman, Meursault est encore un homme indifférent et passif. Un exemple qui nous montre ce qu’il ne se sent pas de remords pour son crime. Il se soucie plus d’absence des cigarettes et des femmes. De plus, Camus nous done une déscription physicale pour montrer que Meursault n’a pas encore changer.Il m'a semblé que mon image restait sérieuse alors même que j'essayais de lui sourire. Je l'ai agitée devant moi." (Camus 126)
RépondreEffacer2. Non, je ne pense pas que Meursault sens aucune remords pour la meurtre de l’Arabe. Il a presque l’oublier. Même si il a beaucoup de temps en prison pour réfléchir ses actions qui l’y ont mené, il pense plutôt aux chose qu’il manque de ca vie libre. En raison de son manque d'émotion et de détachement de la société, je crois que Meursault est incapable de remords. Cela est évident parce qu’il s’inquiéte plus de ses besoins et son environement au lieu de penser au ce qui a se passé.
1) Meursault est dans sont propre monde d’indifférence, il trouve son affaire très simple malgré les dangers est la situation difficile où il se retrouve. A la page 99 Meursault a dit « J’ai répondu que je trouvais mon affaire très simple. » (Camus 99). Même en prison il pense qu’il n’a pas besoin d’avocat parce que son affaire n’est pas compliquée c’est juste un meurtre. Le juge a essayé avec tout les moyens de lui faire regretter son acte et demander pardon à Dieux mais il n’a pas les mêmes croyances que le juge et il pense que la mort est un destin peu importe la façon dont on va mourir. Le destin de sa mère c’est de mourir à l’asile de vieux et le destin de l’Arabe c’est d’être tuer par Meursault. A mon avis, au début, Meursault ne prenait pas conscience de soi en prison. Le temps qu’il a passé là-bas, malgré la petite cellule et le non confort où il vivait, il pensait toujours aux femmes, à ces cigarettes et à des choses artificielles plus qu’il a pensé au crime qu’il a fait et aux conséquences qu’il peut avoir. Meursault à un caractère très spécial et particulier il laisse tout au hasard et il prend les choses à la légère. Plus tard, Meursault a réalisé que la prison est une privation de toutes les choses et la moindre des choses qu’il aimait. Apres l’avoir déplacé d’une cellule avec d’autre Arabe et le mettre seul dans une autre cellule, ce mouvement la fait beaucoup réfléchir et lui a ouvert les yeux qu’il est vraiment en prison et il doit payer les conséquences. Meursault a dit, « En réalité, je n’étais pas réellement en prison les premiers jours : j’attendais vaguement quelque événement nouveau. C’est seulement après la première et la seule visite de Marie que tout a commencé. Du jour ou j’ai reçu sa lettre (elle me disait qu’on ne lui permettait plus de venir parce qu’elle n’était pas ma femme), de ce jour là, j’ai senti que j’étais chez moi dans ma cellule et que ma vie s’y arrêtait» (Camus 113). Depuis cette partie, Meursault a reconnu qu’il a commis un crime sérieux.
RépondreEffacer2) Meursault à tuer l’Arabe sans même savoir pourquoi et avoir beaucoup de détails sur son histoire avec Raymond. Il a tué ce Monsieur dans un instant inexplicable et d’une manière sauvage qui nous donne l’impression que Meursault a une grande haine et une vengeance contre l’Arabe. En réalité il n’y a rien de tout cela. Le juge a demandé à Meursault « Pourquoi avez-vous tirez sur un corps à terre? » « La encore je n’ai pas su répondre » (Camus 106). C’est encore le caractère indifférent et bizarre qui domine Meursault qui monte en surface. Les sentiments de Meursaults envers cette mort sont mélangés des fois de remords et parfois de sentiments d’innocence. Ils se sont innocent parce qu’il se dit, si cette homme est mort c’est tout simplement à cause de son destin pas plus. Qu’il soit mort avec un pistolet ou une mort naturelle comme celle de sa mère à l’asile, sa reste finalement la mort et la fin. Il n’a pas beaucoup de remord vis-à-vis du crime qu’il a commis mais il reconnaît bien qu’il est un criminel et un coupable. Selon moi, il regrette d’avoir tué l’Arabe mais pas parce qu’il a pris une vie mais parce que maintenant il est en prison est ne peut plus profiter de la vie hors de sa cellule.
1. A mon avis, Meursault ne prend pas conscience de soi en prison. Dans le chapitre 2 partie 2, Meursault a dit : « J’ai souvent pensé alors que si l’on m’avait fait vivre dans un tronc d’arbre sec, sans autre occupation que de regarder la fleur du ciel au-dessus de ma tête, je m’y serais peu a peu habitue » (120). Il me semble que Meursault simplement s’adapte à la vie en prison.
RépondreEffacer2. Je pense que Meursault ne sent aucun remord pour ce qu’il a fait. Dans le chapitre 1 partie 2 : Quand l’interrogatoire lui a dit que les criminels ont toujours pleuré devant le crucifix ou « l’image de la douleur », Meursault pensait que ce fût justement parce qu’il s’agissait de criminels, mais il a pensé qu’il aussi était comme eux. Cependant, il a dit que « c’était une idée à quoi je ne pouvais pas me faire » (109). Ceci prouve que Meursault ne sent aucun remord pour tuer l’Arabe.
1. A mon avis, Meursault ne prend pas conscience de soi en prison. Toutefois, je pense que quand il est en prison, il révèle ses qualités humaines cachées. Comme il s'assied dans sa cellule, il s'ennuie et a ennuyé que sa « liberté » qui a été révoqué. Camus décrit les expériences de Meursault en prison d'être longues et inconfortables. Il décrit le malaise de Meursault et l'indifférence. Meursault s'assied dans sa cellule et pense à rien mais les blattes qui rampent autour de son lit la nuit. L'un supposerait que les prisonniers ont peu pour faire mais évalue leurs actions. Meursault jamais introspects. Il s'assied dans sa cellule et ses prodiges du monde d'extérieur, sans le désir pour n'importe quoi plus qu'une cigarette. Quand il voit Marie, il ne comprend pas la valeur d'amour et d'acceptation. Simplement, Meursault considère ceci comme une occasion de rencontrer des gens. Malgré que Meursault ne prend pas conscience de s'en prison, je pense que Camus utilise ces chapitres pour révéler l'humanité de Meursault. Pendant le roman, Meursault réagit indifféremment à la mort de sa mère, le poignarder de Raymond, et le meurtre de l'Arabe. Toutefois, dans prison Meursault exprime le malaise et ce malaise est un symbole qu'il est plus que juste la pierre.
RépondreEffacer2. Je pense que Meursault a aucun de remords pour ce qu'il a fait. Je pense que s'il a eu le remords pour ce qu'il avait fait, il tournerait à la foi et à la religion pour l'épargner. Il demanderait le pardon et prie à un dieu qu'il est racheté. Toutefois, quand il est dans le tribunal, il dit le juge qu'il ne croit pas en dieu. Meursault ne pense pas au pardon ; il y a rien de pardonner. Ce qu'est arrivé, c'est arrivé. Il est fini. Le juge exprime aussi sa surprise à l'indifférence de Meursault. A la page 109 il dit, « Je n'ai jamais vu d'âme aussi endurcie que la vôtre ». Meursault ne révèle pas de signe d'angst ou de douleur parce qu'il a tué un homme. Même dans la prison, les pensées de Meursault sont diverties par la mémoire. Meursault dépense ses jours et les nuits apprennent par le coeur petits aspects de la pièce au lieu d'in Vu le soi-rachat. Au début du chapitre deux, il dit « Je n'aimerais pas parler de cette partie de ma vie ». Toutefois, il n'aime pas parler de cette partie de sa vie parce que c'était inutile et une perte de temps. Pendant qu'il est dans la prison, il parle au gardien et se plaint de la perte de ses affaires. L'indifférence de Meursault pour chagriner, la tragédie et la vie révèlent son manque de remords. Dans ses heures les plus sombres de « souffrir » en prison, il désire simplement pour la liberté physique. Il n'exprime jamais un désir pour la liberté mentale pour ce qu'il a fait. A mon avis, une personne qui s'est sentie coupable désirerait le pardon.
Je m'excuse encore. La réponse précédente était la mienne (Lauren Del Rio).
RépondreEffacer1. À mon avis, il y a très peu de changements pour Meursault quand il est en prison. Il a toujours la même personnalité indifférente. Bien que la plupart des criminels seraient prendre leur temps en prison pour réfléchir sur leurs crimes, leurs choix de vie et comment d'agir quand ils sont ramenés dans la société, Meursault choisit de regarder son séjour en prison avec une façon très factuelle, pratique et sans émotion. À la page 122, Meursault dit, « A part ces ennuis, je n'étais pas trop malheureux. Toute la question, encore une fois, était de tuer le temps »(Camus 122). Cette ligne résume bien l'attitude de Meursault envers la façon dont il devrait agir en prison. Tout au long de sa peine, il décide de trouver des astuces pour passer le temps comme des tests avec sa mémoire plutôt que de se concentrer sur les effets émotionnels de la meurtre. En outre, Meursault n'est pas gêné par avoir assassiné un homme; en réalité, ce fait franchit rarement son esprit au point où il oublie souvent qu'il est arrivé à tous. Au lieu de cela, les plus grandes inquiétudes de Meursault sont des choses simples, qui peuvent être vues quand il affirme, en ce qui concerne ses cigarettes, « Mais on m'a dit que c'était défendu…C'est peut-être cela qui m'a le plus abattu » (Camus 122). Le fait que l'un des problèmes les plus difficiles de Meursault est la perte de cigarettes montre comment la meurtre n'a pas affecté son esprit.
RépondreEffacer2. Non, Meursault n'a absolument aucun remords pour ce qu'il a fait. La meurtre est tellement sans conséquence pour lui qu'il en oublie souvent qu'elle s'est produite. Cela est évident quand il déclare, « En sortant, j'allais même lui tendre la main, mais je suis souvenu à temps que j'avais tué un homme » (Camus 100). Bien que la plupart des gens avec une conscience seraient extrêmement coupable de tuer quelqu'un, Meursault démontre une nature impitoyable quand il déclare, « J'ai dit que j'avais tué un Arabe et ils sont restés silencieux » (Camus 114). Le fait que Meursault est capable de parler aux Arabes de tuer un de leurs propres prouve qu'il n'a pas de remords. En outre, quand il est interrogé par le juge sur la meurtre, ses questions n'ont aucune sorte d'émotion. Il répond à chaque question avec une manière très factuelle qui expose son indifférence et son désir de terminer l'interrogatoire. Enfin, lorsque le juge essaie d'aider Meursault à réaliser son crime et de se repentir, Meursault agit de l'ennui pour faire l'homme cesser parler. Les paroles du juge de se repentir et le péché n'auront aucun effet sur Meursault, et cela est évident quand il déclare, « Comme toujours, quand j'ai envie de me débarrasser de quelqu'un que j'écoute à peine, j'ai eu l'air d'approuver » (Camus 108). Meursault n'est pas affectée par la meurtre et il est tout simplement irrité par la répétition.